Une danseuse évolue seule et sans musique. Mouvements saccadés, hésitations, questionnement... Scène hallucinée qui finit dans un geste explicite d'éventration : hara-kiri. Puis cinq danseurs, hommes et femmes confondus, vêtus de noir, proposent une chorégraphie très graphique. Graphie des mouvements, langage du corps, membres tordus et dos courbés, gestes bruts. Les danseurs vont et viennent... Lire la Suite →